Plantations industrielles: regard sur la problématique de la disponibilité des terres
- Abidjan.net
- 15 April 2015
Les terres arables existent en Côte d'Ivoire, mais sont-elles toujours disponibles pour les industriels ?
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La loi ivoirienne sur le foncier rural sera-t-elle réformée pour plaire aux multinationales ?
Pousser à des changements de législations sur le foncier mais aussi obtenir la privatisation des semences. C’est l’objectif des multinationales qui cherche plutôt à faire du profit.
Deux ans après l'accord signé entre Dreyfus et Abidjan, l'enthousiasme suscité par l'arrivée de la multinationale est retombé.
Deux ans après l'accord signé entre Dreyfus et Abidjan, l'enthousiasme suscité par l'arrivée de la multinationale est retombé.
Marie Viviane Yalé, présidnte de l'ONG Organisation ivoirienne pour la paiz et membre de la chefferie à Guitry, raconte que ce phenomène prend de l'ampleur dans sa localité.
Une compagnie a affirmé qu’elle souhaiterait produire du sucre et de l’énergie sur 20 000 hectares afin de booster la production du pays.
The Bolloré company and the Transnational Alliance of Local Communities of the plantations controlled by the group held a negotiation session during which several commitments were made to resolve local land conflicts.
Les représentants africains et cambodgiens sont venus demander au groupe Bolloré et à la Socfin de rétrocéder des terres et de stopper les expansions foncières.
C'est une première sur la question des accaparements de terre. Des représentants venus d'Afrique et d'Asie négocient dans un hôtel aujourd'hui à Paris avec le groupe Bolloré.
Vendredi 24 octobre, les représentants des communautés issues de 5 pays (Cameroun, Cambodge, Libéria, Côte d’Ivoire et Sierra Leone) touchées par les accaparements de terre ont rendez-vous à Paris avec le groupe Bolloré pour entamer les négociations.
Inter Pares, REDTAC et la COPAGEN viennent de conclure une étude qui documente les répercussions de l'accaparement des terres sur la sécurité alimentaire en Afrique de l'Ouest.