La Libye s'accapare des terres rizicoles maliennes
- Via Campesina
- 17 August 2009
L’accaparement des terres des petits paysans par des grandes entreprises nationales et étrangères devient un sujet de plus en plus révoltant au Mali.
L’accaparement des terres des petits paysans par des grandes entreprises nationales et étrangères devient un sujet de plus en plus révoltant au Mali.
Libya Africa Investment Portfolio and the Mozambican company Ubuntu SA are launching a $30 million rice project that will cover 20,000 ha near to Bela Vista, capital of Mozambique's southernmost district of Matutuine.
"While participating in farmer meetings in Mali recently, I heard about the so-called land grabs first-hand. Libya will use its wealth of petro-dollars to buy control over 250,000 acres of Mali's best rice producing land."
C’est la déception et le regret qui animent aujourd’hui bon nombre de petits exploitants maliens expropriés de leurs domaines par le projet libyen
There may emerge a situation when Ukrainians will be starving in spite of having the most fertile black earth.
« Il n’appartient pas au G8 d’élaborer des programmes et stratégies de développement pour l’Afrique. »
"Our message is clear: it is not up to the G8 to set development strategies and programmes for Africa."
La Journée du Programme détaillé de développement de l'agriculture africaine (PDDAA) a démarré samedi à Tripoli, dans le cadre des activités organisés en marge de la 13ème Conférence des chefs d'Etat et de gouvernements des pays membres de l'Union africaine (UA) prévue le 1er juillet à Syrte, dans le centre de la Libye.
Tymoshenko is pushing through with promises to provide Libya 100,000 ha of Ukrainian farmland to produce its own wheat
A number of African countries are inviting South African farmers to come over to their countries and ply their trade, and Libya is included.
"Il n'y a pas de liberté pour une société qui mange au-delà de ses frontières". Le colonel Kadhafi applique à la lettre ce principe du Livre vert.
Ils ont des mines inquiètes. Ce matin-là, à Niono, dans le centre du Mali, des petits producteurs de riz sont réunis au siège de leur syndicat, le Sexagon. En bout de table, Lamine Fané se lance : “La politique du gouvernement est tournée vers les investisseurs étrangers. Mais nous, qu’allons-nous devenir ?”