Tensions between local communities and large-scale agriculture companies are running high in Cameroon and disputes over land and environmental impacts have increased over the years.
A grievance assessment mission commissioned by Belgian oil palm and rubber company Socfin has been rejected by communities affected by the company’s operations in several African and Asian countries.
Une casserolade a accueilli les actionnaires de Socfin, ce 30 mai, à l’assemblée générale du groupe luxembourgeois qui produit huile de palme et caoutchouc.
Des manifestants se sont rassemblés mardi devant l’hôtel Parc Belair, à Luxembourg, où les actionnaires de Socfin tenaient leur AG annuelle, pour protester contre les opérations qualifiées de «greenwashing» du groupe.
At the Annual General Meeting of shareholders in Luxembourg, civil society denounce SOCFIN's self-regulatory practices, which prevent the resolution of land, social and environmental conflicts.
A l’occasion de l’Assemblée Générale des actionnaires du Groupe SOCFIN, la société civile dénonce ses pratiques d’auto-régulation qui ne permettent pas la résolution des conflits fonciers, sociaux et environnementaux.
The Association of Women Living Alongside Socapalm Edéa (AFRISE), whose rights have been violated by Socapalm in Edéa, take their demands to the President of Cameroon
L'Association des Femmes Riveraines de la SOCAPALM Edéa (AFRISE) énumère leurs revendications, dans une lettre au Président de la République du Cameroun, suite à la violation de leurs droits par la SOCAPALM d’Edéa
Carta de la Asociación de mujeres de la zona vecina de Socapalm d’Edéa (AFRISE) al Presidente de la República de Camerún con sus reivindicaciones tras la violación de sus derechos por Socapalm en Edéa
Le 13 avril 2023, les populations du village Apouh à Ngog situé dans l’arrondissement d’Edéa 1er, département de la Sanaga-Maritime, région du Littoral, ont paralysé les activités de production à l’usine de la Société camerounaise de palmeraies (Socapalm) d’Edéa.
Sur le manque d’espaces vitaux, les populations de la Sanaga Maritime reprochent à l’exploitant, de s’être accaparé des aires propices à leurs activités de survie quotidienne, l’agriculture de subsistance et les aires pastorales notamment.
Le plaidoyer des communautés soutenues par des organisations de la société civile a contraint l’entreprise à ne céder que trois sites sur les cinq escomptés, pour une superficie totale d’environ trois hectares, alors que les communautés en espéraient 30 hectares.