Cameroun : face aux violences de Socfin, les femmes résistent !
- Revue Silence
- 04 February 2025
Enquête sur les violences sexuelles et sexistes dans les plantations du groupe Socfin au Cameroun
Enquête sur les violences sexuelles et sexistes dans les plantations du groupe Socfin au Cameroun
Des riveraines de la Socapalm, une société de palmier à huile au Cameroun, filiale du groupe SOCFIN, revendiquent un espace vital. Elles ont investi une plantation.
Des femmes d’Apouh ont investi les plantations de la Socapalm pour y planter 6000 rejetons de bananiers plantains. Elles ont ciblé une surface précédemment occupée par le palmier à huile, en prévision de replanting.
SRC and LAC operations on customary land have historically been conducted without the consent of local communities, leading to land grabs, destruction of livelihoods, and various human rights violations.
WRM a créé cet épisode avec des témoignages de femmes qui souffrent des impacts des plantations industrielles.
Desde 2016, la Red de Actores del Desarrollo Sostenible (RADD) apoya a las comunidades de las aldeas Apouh en Ngog, Dehane, Ongue y Koukohe, en su lucha por el reconocimiento de sus derechos humanos pisoteados por la multinacional que ocupa su patrimonio territorial.
Ils s’opposent une fois de plus, et avec détermination, aux travaux de renouvellement sur le même espace, des palmiers de la Socapalm. Face à l’apathie des autorités locales qui ont l'air dépassé, l’arbitrage du Mindcaf devient une nécessité.
Une cartographie des abus fonciers décriés par les communautés des villages Apouh à Ngog, Dehane, Ongue et Koukohe a été rendue publique lors d'une rencontre à Yaoundé.
La société d'huile de palme demande au gouvernement du Cameroun à intervenir dans le conflit foncier avec les populations du village Apouh à Ngog
Les contestations ont de nouveau repris ce matin sur les plantations querellées de la Société camerounaise de palmeraies (Socapalm) d’Édéa situées au village Apouh, au Cameroun
Le différend avec la Société camerounaise de palmeraies se poursuit ce lundi.
Le 21 septembre, tous les défenseurs des droits des communautés vivant autour des grandes plantations de monoculture, et en particulier les riveraines victimes, marquent systématiquement un temps d’arrêt.
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