Madagascar

Un projet de la Banque mondiale à Madagascar va promouvoir la propriété privée des terres agricoles pour aider à nourrir l'île de La Réunion

Cette étude Elle analyse les implications sur le terrain d’un projet d’agriculture industrielle à grande échelle mené par l’entreprise italienne Tozzi Green dans la région d’Ihorombe, financé notamment par BIO, la Banque de développement de l’État belge

Le ministère de l’Agriculture et de l’élevage compte aménager 222 000 hectares de terrains domaniaux en "Zone d’émergence agricole" et valoriser 68 945 hectares de terrains privés pour devenir le grenier de l’océan Indien en 2028

The project to cultivate 60,000 ha is "suspended" until the Malagasy state delivers on the investor's demand for preliminary development work to be done. TANY Collective offers an analysis.

Le projet d'exploitation de 60 000 ha est "suspendu" jusqu'à ce que l'Etat malgache fassent des aménagements exigés par l'investisseur. Analyse du Collectif TANY.

Le projet d’exploitation des 60.000 ha du Bas-Mangoky en suspens. Les investisseurs qui ont manifesté leur intérêt sur ce projet souhaiteraient d’abord « que l’Etat mette en place les facilités » nécessaires à leur implantation sur le site.

Many studies on SEZs focus on their economic performance. Less attention has been paid to how they affect land rights, or broader questions they raise about territorial governance, legislation and economic development models.

Après un premier projet contesté par diverses structures en 2020, un deuxième projet de loi sur les terrains à statuts spécifiques à Madagascar a été rédigé mais non diffusé, alerte le Collectif TANY.

Cette étude vise à comprendre comment les questions foncières se déclinent dans le cadre de l’établissement, le développement et l’expansion de ZES

Quand on interroge les communautés rurales du pays sur leurs difficultés, c’est le manque de terre qui est cité en premier. Et les politiques menées par le gouvernement n’arrangent rien !

There will be plenty more scuffles between local populations and new global landlords. But, according to the Financial Times, such fights are unlikely to stem the tide of land investment.

Habrá muchos más enfrentamientos entre las poblaciones locales y los considerados nuevos terratenientes globales, según el Financial Times