L'Echo | 07 juin 2010
Serge Quoidbach
Finis les produits financiers complexes, place aux investissements concrets. Aussi concrets qu’une ferme ou un champ de blé. Depuis la crise alimentaire en 2008, certains fonds d’investissement se sont rués sur les terres arables africaines, pour profiter de leur sous-exploitation et de la faim insatiable de la planète. Pour les associations humanitaires, il y a danger.
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