Gnet | 14 Mai 2018
Korchid réfute l’appropriation par les étrangers de terres agricoles
Le ministre des domaines de l’Etat et des affaires foncières, Mabrouk Korchid, a réfuté ce lundi les informations attestant de la possibilité pour les étrangers de prendre possession du foncier agricole en Tunisie.
Intervenant à l’ouverture de la conférence des directeurs, autour de "l’engagement de la direction de la propriété foncière dans le cadre du plan stratégique 2018 – 2020", il a souligné que l’appropriation par les étrangers de terres agricoles n’était pas à l’ordre du jour, étant donné que la loi tunisienne l’interdit. "Il n’y a pas lieu de renoncer au domaine agricole de l’Etat, étant un legs à transmettre aux prochaines générations", a-t-il dit en substance.
Il a encore ajouté que l’Etat avait recouvert pendant une année et demie 28 mille hectares de terres, qui étaient indûment accaparées, dans le cadre d’une approche légale permettant la récupération et la protection des biens de la collectivité nationale.
Le ministre avait annoncé tout récemment la parution imminente d’une note permettant aux investisseurs étrangers d’accéder à la propriété, sans avoir besoin de l’autorisation du gouverneur qui a été annulée.
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Korchid réfute l’appropriation par les étrangers de terres agricoles
Le ministre des domaines de l’Etat et des affaires foncières, Mabrouk Korchid, a réfuté ce lundi les informations attestant de la possibilité pour les étrangers de prendre possession du foncier agricole en Tunisie.
Intervenant à l’ouverture de la conférence des directeurs, autour de "l’engagement de la direction de la propriété foncière dans le cadre du plan stratégique 2018 – 2020", il a souligné que l’appropriation par les étrangers de terres agricoles n’était pas à l’ordre du jour, étant donné que la loi tunisienne l’interdit. "Il n’y a pas lieu de renoncer au domaine agricole de l’Etat, étant un legs à transmettre aux prochaines générations", a-t-il dit en substance.
Il a encore ajouté que l’Etat avait recouvert pendant une année et demie 28 mille hectares de terres, qui étaient indûment accaparées, dans le cadre d’une approche légale permettant la récupération et la protection des biens de la collectivité nationale.
Le ministre avait annoncé tout récemment la parution imminente d’une note permettant aux investisseurs étrangers d’accéder à la propriété, sans avoir besoin de l’autorisation du gouverneur qui a été annulée.
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