Posição da Justiça Ambiental/FOE Moçambique sobre o programa Prosavana
- JA!/FOE
- 25 January 2013
A Justiça Ambiental/FOE Moçambique condena veemente todo o processo de elaboração e implementação do ProSavana
A Justiça Ambiental/FOE Moçambique condena veemente todo o processo de elaboração e implementação do ProSavana
Justiça Ambiental (Friends of the Earth - Mozambique) strongly condemns the whole process of preparing and implementing ProSavana
En définissant comme "intérêt national" ou "bien national" des projets de développement liés à la terre, qui ne respectent pas la notion du droit au développement, qui génèrent des migrations et aboutissent à des violations inextricables des droits fondamentaux de la population et des communautés locales, les Etats abusent du pouvoir qui leur est octroyé aussi bien par la communauté nationale qu’internationale.
Des paysans éthiopiens, chassés de leurs terres au profit de grands projets agricoles, attaquent en justice la Coopération au développement britannique.
The food crisis and recent droughts have confirmed that controlling the source of food—the land and the water that flows under or by it—are equally or even more important.
El fin es que no reaparezca el conflicto armado tras un acuerdo de paz. Por su parte, las FARC propusieron limitar la extranjerización del agro y garantizar la seguridad alimentaria e insistieron con la idea de convocar a una Asamblea Constituyente.
New Zealand Minister of Foreign Affairs says his country can be a logical partner for resource-rich Gulf countries as a producer of food in places like Africa, where experts say half of the potential agricultural land is under-utilised.
The most comprehensive publication to date on land concessions and leases in Lao PDR has been presented to the public.
A day-long conference will be held on Feb. 6, 2013 at the India International Centre, New Delhi to deliberate on the ongoing land takeover in India and in African countries like Ethiopia by Indian companies.
Au Sénégal, entre 2000 et 2010, entre 30 et 40 % de réserves fonciers ont fait l’objet de transactions foncières à grande échelle, « un transfert massif de terres paysannes vers les investisseurs »
«Si on nous enlève notre terre, autant mourir», assène, en se tranchant symboliquement la gorge d’un doigt, le chef d’un des villages de la communauté rurale de Gnith, au nord-ouest du Sénégal.
L’UPA insiste sur la nécessité du gouvernement de « bouger dans le dossier » de l’accaparement des terres par les spéculateurs. « Sinon, les terres agricoles vont devenir la propriété de ces fonds-là », ce qui tirera vers le haut le prix des produits agricoles et alimentaires