Conclusiones del Grupo de Trabajo sobre Tierra del Congreso de la CLOC-Vía Campesina
- CLOC-Vía Campesina
- 16 October 2010
El acaparamiento de tierra viola los DDHH, porque roba a las comunidades campesinas las posibilidades de alimentarse a sí mismas
El acaparamiento de tierra viola los DDHH, porque roba a las comunidades campesinas las posibilidades de alimentarse a sí mismas
Pour la directrice générale du Programme alimentaire mondial l’investissement massif en Afrique est indispensable.
Deux thèmes brûlants occupent le devant de la scène: la spéculation et l’accaparement des terres.
La Suisse, avec d’autres pays et organisations, peine à introduire un code de conduite pour réguler les contrats entre investisseurs étrangers et pays d’accueil
La lutte contre l’accaparement des terres ne fait que commencer, estime René Segbenou de Jinukun
Le Comité de la sécurité alimentaire (CSA) de l'Onu s'est contenté de "prendre note" d'un code de conduite sur les investissements fonciers à l'étranger, sans pour autant l'adopter, au grand dam d'ONG défendant les petits exploitants agricoles de pays en développement.
The UN Committee on Food Security has failed to endorse a code of conduct on foreign land investments, in a blow to efforts to draft international guidelines to regulate so-called "land grabs".
When deals are struck, activists complain that large tracts of land can be sold from under communities, with protocol ignored and promises broken.
A la veille de la journée mondiale de l'alimentation, demain, des agriculteurs d'Afrique et d'autres pays du Sud demandent l'arrêt du rachat massif de millions d'hectares de terres par les investisseurs privés et gouvernements de pays riches.
Convenio que el Gobernador Miguel Saiz (UCR) firmara con el Estado de la República China para la entrega de 254.500 hectáreas de la Provincia de Río Negro
Official documents from the 36th session of the FAO Committee on World Food Security (Rome 11-16 October 2010) concerning their discussion of landgrabbing
La frontière entre public et privé est poreuse : les Etats ont besoin d’entrepreneurs privés pour réaliser sur place les investissements agricoles, les entreprises ont besoin au moins de protection juridique pour sécuriser leurs investissements par des traités internationaux.