Enquête sur les violences sexuelles et sexistes dans les plantations du groupe Socfin au Cameroun

« L'idée de la campagne contre Bolloré est née comme un nouveau front antifasciste, totalement connecté aux préoccupations initiales des Soulèvements de la Terre que sont la lutte contre l'artificialisation et l'accaparement des terres et de l'eau. »

À Montpellier, Paul et ses camarades sont venus dénoncer la collaboration entre PalmElit, filiale détenue à 60% par le Cirad, et la société Socfin, dont Bolloré est actionnaire minoritaire.

Alors que l’année 2024 touchait à sa fin, la Coalition internationale pour l’accès à la terre (ILC), a largement diffusé un nouveau rapport. Ce document affirme que les données fournies par les partenaires de l'ILC, combinées à l'amélioration des droits fonciers, montrent qu’il est possible de transformer l'accaparement massif des terres lié aux projets de compensation carbone en situation gagnant-gagnant. Cette affirmation est illusoire et fausse.

Les divergences sont en voie de se dissiper aux Fermes de La Téranga (20 000 hectares dans le nord du Sénégal) grâce à une série de rencontres d'harmonisation entre la direction et les travailleurs.

Des riveraines de la Socapalm, une société de palmier à huile au Cameroun, filiale du groupe SOCFIN, revendiquent un espace vital. Elles ont investi une plantation.

Des femmes d’Apouh ont investi les plantations de la Socapalm pour y planter 6000 rejetons de bananiers plantains. Elles ont ciblé une surface précédemment occupée par le palmier à huile, en prévision de replanting.

Le gouvernement indonésien envisage d'utiliser 20 millions d'hectares de zones forestières pour produire du riz, des palmiers et de la canne à sucre, a récemment déclaré le ministre des Forêts Raja Juli Antoni.

La question de la propriété des terres agricoles par des étrangers suscite des préoccupations en Saskatchewan, à cause de la hausse des prix. Mais les données montrent que la majorité des fermes restent entre les mains de familles canadiennes.

Les Émiratis proposent d'investir jusqu'à 10 milliards de dollars dans des projets de constructions routières, de raffinerie aurifère, de production agricole (riz) ou sucrière.

Le gouvernement algérien va mettre 122 000 hectares de terres à disposition des investisseurs dès 2025 afin d'accroître la production nationale ainsi que les exportations, notamment des céréales

Sous les palmiers à 6000 kilomètres de Fribourg, la colère ne faiblit pas dans une plantation d’Okomu, une filiale de Socfin, dont le commerce de matières premières passe par Fribourg.