Dans ce second numéro consacré à la vente et la location de terres arables à grande échelle, "Le Dessous des cartes" s'intéresse aux facteurs d'instabilité induits par cette compétition autour du foncier agricole

Le Mali mettra à disposition dix mille hectares dans la zone de l'Office du Niger à des fins d'exploitation agricole par des financiers marocains.

Rapport d'une mission effectuée en mars 2014 par SOS Faim dans la région de Fanaye et de Gnith (Sénégal), avec l’appui du CNCR.

Au Kenya, la haute cour de justice a confirmé la décision du gestionnaire des marchés de rejeter l’offre publique d’achat de Vania Investment Pool sur les actions du producteur de Sisal Rea Vipingo Plantations Ltd

Frederic Mousseau de l’Institut Oakland, l’une des ONG qui proteste contre le projet Senhuile SA, rappelle que « tous les pays n’ont pas des cadastres, tels qu’on les connait dans les pays occidentaux ».

Le projet de Tochka était censé régler les problèmes démographiques et agricoles de l’Égypte. En 2008, plus de 30 000 ha ont été attribués à une compagnie saoudienne. Fin 2013, une compagnie émiratie y annonçait l’achat de 40 000 ha.

Les populations ont lancé le début d’une campagne et interpellent le Président Sénégalais Macky Sall.

Pour ce premier volet de l'émission consacrée au commerce des terres arables, "Le Dessous des cartes" s'intéresse aux facteurs qui ont relancé la quête mondiale de terres agricoles, et aux acteurs de ce marché.

Les phénomènes de concentration et d’accaparement des terres ne concernent pas que l’Afrique ou l’Asie. Les gros propriétaires terriens sont aussi très actifs au sein de l’Union européenne.

L’accaparement des terres, la globalisation et le leadership féminin étaient au centre d’un débat entre les journalistes et les membres de la fondation pour le développement au Sahel (FDS)

Pour plus de viande et plus de produits laitiers en Afrique, les "experts" prôntent un modèle à deux vitesses : encourager l'élevage intensif des investisseurs et soutenir l'élevage extensif des plus pauvres.

Malgré la résistance des populations locales, l’entreprise Senhuile poursuit son projet de plantation agro-industrielle de 20 000 hectares, dans le nord-ouest du Sénégal. De nombreuses questions restent en suspens, notamment autour du montage organisationnel et financier de la société.