KKO International prospecte à Madagascar
- Boursier.com
- 18 July 2016
Le cacaotier belge KKO International envisage de s'implanter à Madagascar, où il cherche 400 à 500 hectares de terres pour la culture de cacao
FrançAis" />
Le cacaotier belge KKO International envisage de s'implanter à Madagascar, où il cherche 400 à 500 hectares de terres pour la culture de cacao
Dans toute la sous-région, que ce soit à Mundemba (Cameroun) ou Mboma (Gabon), on observe cette concurrence grandissante de l’agro-industrie face aux économies agricoles locales.
Le colonialisme est revenu à son point de départ et, une fois de plus, l’exploitation est justifiée par le « développement ».
La société émiratie compte exploiter jusqu’à 1 500 ha de vergers au Maroc dans les cinq prochaines années.
L’échec de l’adoption d’une loi reconnaissant les droits des communautés rurales sur leurs terres ancestrales pourrait faire l’effet d’une étincelle dans un baril de poudre.
Le gouvernement cherche à remettre à plat le registre national du foncier et le cadre juridique dont les investisseurs ont besoin pour financer le secteur agricole
Sept ans après le coup d’Etat au Honduras, les assassinats et la criminalisation à l’encontre des défenseurs des droits humains, de l’environnement, des communautés indiennes ou paysannes ne fléchissent pas.
Huit ans après la publication de son premier rapport sur l'accaparement des terres, GRAIN publie un nouvel ensemble de données qui offre des précisions sur près de 500 cas d'accaparement des terres dans le monde entier.
Après quatre années de débats, d’analyses rigoureuses, d’épouvantails de toutes sortes et d’une commission parlementaire, où en sommes-nous maintenant au Québec?
Aucun contrat n’a encore été signé avec Al Horaish, mais, il faut bien se garder de croire que le projet est définitivement enterré.
Une initiative internationale jetant la lumière sur l’ensemble de ces transactions est désormais un impératif autant qu’un préalable pour protéger cette agriculture que nous avons plus que jamais en partage
Les sénateurs ont adopté un amendement au projet de loi qui donne aux Safer "les moyens de lutter contre l'accaparement des terres au détriment de l'installation d'agriculteurs", a indiqué le ministre français de l'Agriculture Stéphane Le Foll