Canada

One of Africa's largest palm oil companies that is majority-owned by the British government through foreign aid funding has failed to meet a promise to improve housing for its Congolese workers or pay them on time, investigations have revealed.

Canadian investors - particularly pension funds - have led the way in changing Australian city money attitudes to agriculture.

A recent report by nine charities including RIAO-RDC, a Congolese NGO, and the western charities Grain and War on Want, levels a string of criticisms against Feronia Inc, including allegations of land grabs, low pay and exploitation.

Xavier de Carnière, un Belge qui est à la tête de Feronia, a accepté de répondre aux questions de l'Écho concernant ses activités en RDC

The B.C. government will consider proposals to impose higher property taxes on investors who buy agricultural land then reap huge tax benefits intended for farmers, not wealthy speculators.

"Plaider pour une restitution des terres, ou demander à nos investisseurs de revoir leur engagement, revient à mettre en danger les emplois de milliers de travailleurs," réagit Feronia.

Les investisseurs étrangers et nationaux se bousculent pour les grandes concessions agricoles en Algérie.

Montreal-based Fiera Capital Corp. is taking the next step in its aggressive expansion plans that include adding agriculture and private equity to its current asset class offerings.

Face au décalage entre la défense de Feronia et les témoignages remontant du terrain, les ONG demandent la mise en place d'une mission d'information indépendante internationale dans les zones concernées.

The Senate agriculture committee is launching a study into the ownership of Canadian farmland and the challenges that farmers face in expanding their operations.

Après quatre années de débats, d’analyses rigoureuses, d’épouvantails de toutes sortes et d’une commission parlementaire, où en sommes-nous maintenant au Québec?

« Ces achats de terres par des groupes ou personnes qui n’ont rien à faire de l’agriculture créent une pression supplémentaire sur la valeur des terres » explique le président de la Fédération de l’UPA de la Chaudière-Appalaches, Paul Doyon.