La police sierra-léonaise a ouvert le feu, le 10 décembre, sur des manifestants armés, protestant contre un projet d'expansion d’un projet de culture d'huile de palme de la Société financière des caoutchoucs (Socfin), a déclaré un responsable de la police.
- Agence Ecofin
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11 December 2013
Face aux voix critiques qui mettent en lumière les atteintes aux droits occasionnées par leurs activités, de plus en plus d’entreprises répondent en leur intentant des procès.
- Multinationales.org
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11 December 2013
Police in Sierra Leone opened fire on Tuesday on an armed protest against the expansion of palm oil plantations operated by the international agro-investor Socfin Group, a police chief said.
La police sierra-léonaise a ouvert le feu mardi sur des manifestants armés protestant contre un projet d'expansion de plantations d'huile de palme du groupe Socfin, a déclaré un responsable de la police.
Le groupe Bolloré, expert patenté des poursuites en diffamation et autres intimidations permettant de bâillonner toute critique, alimente à nouveau l’actualité judiciaire. Mais, cette fois-ci, pas uniquement à son profit.
Plus de deux semaines de prison et un procès en cours. Cinq membres d’une ONG sierra-léonaise, qui dénoncent la façon dont le groupe Bolloré a acheté des terres pour y installer des plantations de palmiers à huile dans leur région, sont accusés d’avoir détruit des plants de palmiers. Reportage de Mediapart.
- Mediapart
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25 October 2013
En Sierra Leone, cinq leaders d’une association et un député contestant les acquisitions de terre menées par la Socfin liée au groupe Bolloré ont été arrêtés et sont en attente d’un procès.
Le groupe Bolloré poursuit en diffamation Basta ! suite à la publication d’un article de synthèse sur l’accaparement des terres, en octobre dernier.
La publication de Rue89 a été mis en examen sur plainte du groupe Bolloré pour une vigie de onze lignes publiée en octobre 2012 concernant l’accaparement des terres en Afrique.
"Mais qu'est-ce que j'ai fait de mal ?" Mercredi 5 juin, à Puteaux, Vincent Bolloré s'enveloppe d'une candeur inhabituelle pour un capitaine d'industrie aux dents longues, dont le chemin vers la réussite est jalonné des cadavres de concurrents plus tendres que lui
La multinationale française Bolloré s’est accordé jusqu’au 30 juin pour donner suite aux revendications des paysans riverains de ses plantations, qui manifestent dans plusieurs pays africains contre l’expansion des activités du groupe sur leurs terres.
Après le bras de fer, des collectifs africains optent pour le dialogue sans renier leurs revendications