Poursuivis en diffamation par le groupe Bolloré pour un article pointant le rôle de grandes entreprises françaises dans le phénomène d’accaparement des terres, Bastamag, son directeur de publication et ses journalistes ont été relaxés.
"Complément d’enquête" vous fait découvrir le côté obscur de son empire : plantations d’huile de palme, installations portuaires...
Vincent Bolloré avait déposé plainte contre un article publié en 2012 par Bastamag sur l’implication des multinationales françaises dans le processus d’accaparement des terres. Entretien avec deux des personnes poursuivies, Julien Lusson et Ivan du Roy.
Suite au procès de Bastamag pour un article sur l’accaparement de terres - dont le délibéré sera rendu le 7 avril - Survie revient sur le rapport du groupe Bolloré à la presse et à son image.
The Bunong say they never were warned their land would be taken and were not offered compensation before the land started to be cleared — two steps required under Cambodian law.
- Associated Press
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25 Mar 2016
Sima Mattia's release was sought through the collective efforts of Coalition of Civil Society Organizations who had chipped in with the whopping sum of Le30 million to meet his fine imposed by the presiding Judge.
Dat zegt Luc Boedt, voorzitter van de beheerraad van Socfin, in een reactie op de bezetting van de hoofdzetel van het bedrijf door enkele Belgische NGO’s.
So says the chairman of Socfin’s board of directors, Luc Boedt, in response to the occupation of the company’s headquarters by several Belgian NGOs.
Five people involved in the Malen vs Socfin case continue to languish behind bars while Siaka Sama got his freedom on Wednesday February 24.
Des dizaines de citoyens et des représentants d’ONG belges ont labouré les parterres du groupe SOCFIN pour dénoncer la politique d’expansion agressive pratiquée par SOCFIN aux quatre coins du globe.
L'Afrique est le nouvel eldorado des industriels de l'huile de palme affirme Greenpeace dans un rapport tirant à boulets rouges sur la holding luxembourgeoise Socfin, détenue à près de 39% par le groupe français Bolloré.
Réponses du Groupe Bolloré et de la Socfin au Centre de ressources sur les entreprises et les droits de l'homme