More dissenting voices are being raised in West and Central African countries, as local communities and NGOs condemn land grabbing by industrial oil palm and rubber plantations company Socfin
En réponse à un actionnaire qui évoque les critiques entendues à l'entrée sur l'accaparement des terres, Vincent Bolloré indique qu'il n'a pas de raison de douter que ce qu'ils font est bien
Plusieurs dizaines de militants dénonçant l'accaparement de terres en Afrique et en Asie par une holding dont Bolloré est actionnaire perturbaient vendredi les arrivées à l'assemblée générale du groupe, à Puteaux, près de Paris.<<
Vendredi 3 juin, des ressortissants africains, des associations et des syndicats perturbent l’assemblée générale du groupe Bolloré à Puteaux.
On Friday 3 June, African citizens, organisations and unions will disrupt the shareholder meeting of the Bolloré group at its headquarters in Puteaux, just outside of Paris, France.
On June 1, citizens and representatives of Belgian, French and Luxembourgish organisations are calling out to the shareholders of SOCFIN, a Belgian-Luxembourgish group, during their annual meeting.
- FIAN Belgium et al
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01 June 2016
Depuis la diffusion en Avril 2016 de l’émission «Complement d’enquête» sur la chaine française France 2, le personnel de la Socapalm a perdu le sommeil, relate Info Cameroun
- Info Cameroun
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19 May 2016
Pour revendiquer leurs droits, les riverains des plantations Socfin-Bolloré s'organisent.
Déforestation, spoliation des terres, conditions de travail… Le groupe belgo-luxembourgeois, dont l'homme d'affaires français est actionnaire, concentre les critiques sur la gestion de ses plantations.
- Jeune Afrique
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11 May 2016
Des investigations récentes de Greenpeace montrent que les forêts camerounaises et libériennes sont elles aussi menacées par les activités de la Socfin.
A la tête de 200.000 hectares de plantations, Luc Boedt, CEO de Socfin, défend sa politique agricole en Afrique, souvent critiquée par des ONG.
Poursuivis en diffamation par le groupe Bolloré pour un article sur l’accaparement des terres, des journalistes de Bastamag ont été relaxés le 14 avril dernier. Ce lundi 25 avril, le groupe Bolloré a fait savoir qu’il faisait appel de ce jugement.