À São Tomé, Agripalma marche sur des œufs
- Jeune Afrique
- 13 May 2016
Dans le sud-ouest de l’île de São Tomé, la co-entreprise entre l’État santoméen et le groupe luxembourgeois Socfin ressuscite la culture du palmier à l’huile.
Dans le sud-ouest de l’île de São Tomé, la co-entreprise entre l’État santoméen et le groupe luxembourgeois Socfin ressuscite la culture du palmier à l’huile.
Déforestation, spoliation des terres, conditions de travail… Le groupe belgo-luxembourgeois, dont l'homme d'affaires français est actionnaire, concentre les critiques sur la gestion de ses plantations.
Des investigations récentes de Greenpeace montrent que les forêts camerounaises et libériennes sont elles aussi menacées par les activités de la Socfin.
A la tête de 200.000 hectares de plantations, Luc Boedt, CEO de Socfin, défend sa politique agricole en Afrique, souvent critiquée par des ONG.
Poursuivis en diffamation par le groupe Bolloré pour un article sur l’accaparement des terres, des journalistes de Bastamag ont été relaxés le 14 avril dernier. Ce lundi 25 avril, le groupe Bolloré a fait savoir qu’il faisait appel de ce jugement.
Bénin, Burkina Faso et Sénégal : SOS Faim a mené l’enquête dans ces trois pays africains pour analyser quelques cas concrets d’investissement de la BM et leurs impacts sur l’agriculture.
Vincent Bolloré avait déposé plainte contre un article publié en 2012 par Bastamag sur l’implication des multinationales françaises dans le processus d’accaparement des terres. Entretien avec deux des personnes poursuivies, Julien Lusson et Ivan du Roy.
Suite au procès de Bastamag pour un article sur l’accaparement de terres - dont le délibéré sera rendu le 7 avril - Survie revient sur le rapport du groupe Bolloré à la presse et à son image.
The Bunong say they never were warned their land would be taken and were not offered compensation before the land started to be cleared — two steps required under Cambodian law.
Sima Mattia's release was sought through the collective efforts of Coalition of Civil Society Organizations who had chipped in with the whopping sum of Le30 million to meet his fine imposed by the presiding Judge.
"We believe this was a tactic to get us into prison so that we cannot raise our voice on the unacceptable land deals in Malen Chiefdom."
Joseph Rahall interviews Hon. Shiaka Sama, who was released from prison on 24 February 2016 while 5 other activists are still behind bars