Au Conog, le Code minier pose la suprématie des droits miniers sur ceux fonciers, dont les droits agricoles. Ainsi, un agriculteur ne peut s’opposer à ce qu’un permissionnaire minier exploite l’espace qu’il cultive.
Les exploitations agricoles doivent désormais être à 51 % congolaises.
Governments in a number of countries are trying to address concerns about land grabbing by closing their borders to foreign investors. Are these restrictions effective? Not really, says GRAIN.
Dans un rapport récent, Rainforest Foundation UK dénonce le développement massif en cours des plantations de palmier à huile dans les 6 pays du bassin du Congo.
- Journal de l'Environnement
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22 February 2013
Industrial cultivation of oil palm has "wreaked havoc" on rainforests and forest peoples in Southeast Asia and now threatens to do the same in the Congo Basin, a report from the Rainforest Foundation UK warns
- AlertNet
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21 February 2013
Le nouveau code agricole limite la part des investissements étrangers dans les terres agricoles en RDC à 49 pour cent mais le gouvernement prévoit de réviser cette clause.
La loi n°11/022 du 24 décembre 2011 portant principes fondamentaux relatifs à l’agriculture en RDC les inquiète parce qu’elle prévoit qu’un an après son entrée en vigueur, soit en juin 2013, les exploitations doivent être possédées à 51 % par des Congolais.
- Le Potentiel
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01 November 2012
Land grabbing in Congo is speculative, CONAPAC advisor Etienne Bisimwa says, often based on the anticipated demand for jatropha, for biofuel. The profits, he says, are unlikely to be invested in rural areas.
Lors d’un atelier organisé par Synergie Paysanne, GRAIN et le RAPDA, avec le soutien de Pain pour le Prochain, à Ouidah (Bénin) du 7 au 9 février 2012, plus d’une trentaine de participants représentant des organisations paysannes et des ONG actives sur les questions d’accaparement des terres en Afrique de l’Ouest et du Centre ont échangé leurs expériences et approfondi cette question.
Les paysans congolais expriment leur inquiétude devant la vague de vente à outrance des terres qui traduit une mauvaise gestion des espaces que l’on veut faire croire abandonnés.
- Digital Congo
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09 May 2012
A Tshela à 245 km de Matadi, les habitants souffrent de malnutrition. Ils peinent à cultiver. Les terres qu'ils cultivaient ont été vendues (26 000 ha) par les ayants droits à une société agricole qui exploite le palmier à huile.
A law meant to breathe new life into agriculture in Democratic Republic of Congo risks scaring off needed foreign investment due to a clause calling for farms to be majority-owned by Congolese, according to investors and other sector players.