Senegal

Le Sénégal comptait sur des investisseurs étrangers pour augmenter sa production de riz mais certains d'entre eux sont contestés, avec le soupçon d’accaparement des terres, avant même d’avoir démarré leur production.

La directrice de campagne de la coalition "Sénégal Dey Dem" a dénoncé l’accaparement des terres à Bokhol par des capitaux étrangers, au détriment des fils du terroir, qui ne bénéficient que de 0,5 pour cent des surfaces pour l’exploitation familiale.

Selon les paysans, un contingent de deux véhicules remplis de gendarmes a été envoyé sur place pour affronter les populations déterminées à garder leurs terres

Les tensions étaient vives hier à Dodel où une voiture transportant des travailleurs de la société Afri Partners (filiale du milliardaire Anas Sefrioui) a été renversé par les villageois et ses occupants molestés.

Reportage télévisé sur la résistance des communautés locales à l'affectation de 10 000 ha à la société marocaine AfriPartners dans le nord du Sénégal. "On n'a jamais été consulté, ils ont tordu nos mains."

Una comunità di contadini da un anno si batte contro un accordo tra il proprio comune e una grande compagnia indiana di agro-business che assegna mille ettari di terreni coltivati alla produzione intensiva di patate. Una battaglia che la dice lunga sulle politiche di accaparramento di terre in Africa.

« Il n'y a aucun village, aucun cimitière, aucune mare à l'intérieur du site. Dire le contraire est faux » proclame le représentant d'Afri Partners.

Des centaines de manifestants ont marché contre « les conséquences désastreuses de l’affectation de 10.000 ha de terres à usage agricole à la société marocaine Afri Partners » au Sénégal

A part son projet controversé sur le riz à Podor, le géant marocain Sefrioui s'intéresse à 30 000 ha autour du lac de Guiers pour faire du manioc.

N'ayant pas été concertés, les populations de Dodel et des villages environnants manifestent leur désaccord du projet des Marocains

Suite mais pas fin de la vive tension après les affrontements entre forces de l'ordre et le collectif des paysans de Diokoul, au Sénégal, qui s'opposent au projet agricole de 10 000 ha de SenegIndia.

Après les affrontements entre forces de sécurité et populations de Diokoul, le litige connait enfin son épilogue avec le renoncement et le retrait des indiens de ces terres.