Local community forest land cleared and planted by Golden Veroleum in Butaw District, Sinoe County, previously contained areas of high­ quality forest many stories high. (Photo: Justin Kenrick / FPP)

An Ethiopian man watches as machines belonging to foreign investors are used to prepare land (Photo: DW)

Balima Coulibaly (center) lives in Sangha village, situated inside the Malibyan concession. (Photo: Chris Arsenault / Reuters)

La GOANA était supposée booster la production agricole au Sénégal, mais en réalité c'était une sorte de syndicat de paysans du dimanche, selon Ousmane Diallo.

Selon l'APIX, 95 % des terres sénégalaises "n'appartiennent formellement ni à l'État ni aux particuliers". Et pourtant, les investisseurs internationaux comme Tampieri Financial Groupe, une société italienne qui contrôle plus 20 000 ha au nord du Sénégal sous le nom de Senhuile, en profitent largement.

"Un beau matin, elle a pris 300 ha. La Css est un Etat dans l’Etat."

Les plaines étendues de l'Ouest de l'Ukraine, autrefois le grenier à blé de l'Union soviétique, sont convoitées par des entreprises telles que Monsanto. (photo : Wikicommons)

Protest against land grabs in Yangon

A Mitr Phol Group sugar-processing plant. (Photo from Mitr Phol Facebook page)

«Il faut investir dans l’agriculture familiale, pas dans l’agrobusiness», insiste Ali Abdou Bonguere. «L’agrobusiness se traduit dans les pays du Sud par le développement de grandes monocultures et l’accaparement de terres par des investisseurs internationaux au détriment des petits agriculteurs. L’agriculture familiale assure au­jourd’hui 75% des besoins alimentaires mondiaux.»

(Photo: ADECRU)

Blocage des plantations Bolloré-Socfin au Cameroun : levée du blocage de la plantation de Dibombari. Le sous-préfet promet une rencontre avec la direction (Source : ReAct)

Un groupe de villageois bloque la plantation de la Socapalm à Mbongo au Cameroun, le 28 avril 2015. (Photo : ReAct)

January 2015: Indian farmers protest against displacement. (Photo: National Alliance of Peoples Movements)

Les biocarburants de première génération sont régulièrement critiqués pour leurs effets pervers tels que l'accaparement des terres au détriment des cultures vivrières et la pollution.

Un groupe de villageois bloque l’usine de la plantation Mbongo, Cameroun, le 28 avril 2015

Dean Jobling (left), CEO of Sunu Agro, standing beside an irrigation canal, constructed through a porject financed by the MIllennium Challenge Corporation of the US, which will provide water to Sunu Agro's farm in Senegal.

La question de l’accaparement des terres est une question cruciale au Mali. Getty Images/WIN-Initiative

"On a assisté à une recrudescence de l’accaparement des terres pour servir à la culture de produits bénéficiant des préférences commerciales, les paysans restant laissés pour compte, sans voies de recours et leurs protestations réprimées," indique la FIDH