En vertu des dispositions légales angolaises, l’Etat est le propriétaire originel des terres

De gauche à droite, les Ministres Arlette SOUDAN NONAULT, Henri DJOMBO, Rosalie MATONDO et Pierre MABIALA

Le Collectif citoyen en France contre l’accaparement des terres a organisé un colloque à l’Assemblée nationale le 25 septembre 2017 (Photo : GRAIN)

Des femmes se sont mobilisées lors de la Journée internationale contre la monoculture d'arbres pour dénoncer l'accaparement de leurs terres et l'intensification des abus des droits de l'homme commis par la société SOCFIN au Sierra Leone.

L-R – Hean Jin, the old Prame commune chief, Khum Rany, and one of their new neighbors in Chhaeb district, Cambodia.

Photo : Rosa Trieu / Neon Tommy CC

Le militant camourenais de défense de l’environnement Nasako Besingi, fondateur de l'ONG Sefe. © Greenpeace / DR

Women in Port Loko, Sierra Leone.

Members of SYNAPARCAM protesting against SOCFN's failure to respect its agreements and the impacts of SOCFIN's plantations, Cameroon, 21 September 2017.

Feronia Inc. employees harvest palm fruit by hand in Yaligimba. (Photo: Tom Wilson/Bloomberg)

p.p1 {margin: 0.0px 0.0px 7.5px 0.0px; font: 9.0px "Trebuchet MS"; color: #000000; -webkit-text-stroke: #000000} span.s1 {font-kerning: none} Villager holding two bottles, including one with polluted waters. Photo by: Rosilene Miliotti /FASE 

Ostracised by politics and economics. (Reuters/Damir Sagolj)

In Cambodia, a protester scuffles with police outside the Land Management Ministry while seeking resolution to longstanding disputes, August 30, 2017. (Photo: Pha Lina)

Depuis 2014, et l’arrivée au Congrès brésilien de nombreux députés « ruralistes », grands propriétaires terriens et représentants de l’agrobusiness, la déforestation augmente à nouveau dans le pays

Lors d’une conférence de presse donnée au terme d’une mission de deux semaines qu’il a effectuée en Sierra Leone, le Rapporteur spécial des Nations unies sur les incidences sur les droits de l’homme de la gestion et de l’élimination écologiquement rationnelles des produits et déchets dangereux, M. Baskut Tuncak, a dénoncé la faible protection des droits fonciers des populations indigènes face aux multinationales. En ligne de mire, la société luxembourgeoise Socfin, active dans l’exploitation de plantations de palmiers à huile.

Illustration : Philippe de Kemmeter

En avril 2015, des communautés locales ont bloqué des plantations de la Socapalm au Cameroun, notamment à Dibombarri et Mbongo. (Photo: ReAct)

68 municipalités du Bas-Saint-Laurent ont adopté une résolution afin de freiner l'accaparement des terres. Photo : Radio-Canada

"What we don’t want is third-party, offshore interests using our land, our homes as tools for speculative investment"